Chapitre 2: Départ de la fourbe compagnie. (Lune, Damios, Tiberius, Dwight)

Dwight prit du recul pendant que le page quittait pour aller demander audience avec l'intendant. Cette missive semblait importante pour le nainquisiteur et cela parraissait, cela devait être une question d'honneur envers son temple du à l'attachement envers sa foi. Cadeli ne comprenait que mal les attachements de ce genre parce qu'il en n'avait aucun et en aurait probablement jamais.

Cette missive doit être vraiment importante, probablement qu'il la reçu en main propre du haut dirigeant de son temple pour sauver l'équilibre de l'univers. Peu importe ses raisons, nous devrons attendre encore un peu si on veut partir avec lui, ce qui eset mon intention.

Pendant un moment, il y avait un silence, on semblait attendre impatiamment le retour du valet qui arriverait avec un réponse de l'intendant. Cela ne prit pas de temps pour qu'il revienne avec une réponse satisfaisante.

L'intendant est près à vous recevoir.

Au même moment, ce qui semblait être un chevalier de renom suivait le page et semblait se diriger vers la sortie de la citadelle. L'homme portait une armure lourde, un harnois en or aussi lustrer que la courrone d'un roi avec une cape rouge écarlate flottant dans l'air au rythme de ses pas. Le chevalier de la garde d'or affichait à sa ceinture une longue lame avec à son pommeau une émeraude parfaitement sphérique du diamètre d'une pièce.
Il avait l'air occupé, il traversa la voute sans s'adresser à la compagnie. Il semblait avoir une mission probablement donner par l'intendant. Le seul passage de cet homme inspirait le respect. Même Cadeli respectait la prestance du chevalier et noserait point le déranger.

Le page suivant le passage du chevalier, Venez, suivez-moi.

Arriver à la de réception servant de salle du throne pour l'intendant, la compagnie pouvait remarqué l'aspect militaire de la salle, il n'y avait que peu de surplus décoratif autre qu'un throne. Il y avait un throne qui normalement était réservé à l'empereur lors de ses visites, mais maintenant qu'il n'est plus là, le siège royale sert à l'intendant.

Justement, on pouvait le voir sur le throne, pensif. Ce homme de bonne carrure, avait une prestance semblable au chevalier qui venait de quitter la salle, sauf qu'au lieu d'une armure dorée, il était vêtu d'une toilette royale. Celle-ci arborait les couleurs de Cité, soi beaucoup de rouge et d'or. On ne pouvait pas être devant le roi et ne pas remarquer la couronne doré empli de bijoux de toutes sortes.

Je crois savoir que vous avez une importante missive à me remettre?

Cet homme possède le pouvoir depuis un moi et il semble déjà trop aimer ce pouvoir.

Tiberius en avait assez, c'était une perte de temps! En plus, toute cette ambiance n'était pas du tout pour lui. Trop de chevaliers, trop d'imbéciles, de lèche bottes, d'opportunistes et de vantatrd.

Ouais! Tous ça n'est que de la merde! Allez le nain, donne lui ta lettre qu'on décampe! Je vous attend dehors, j'en ai déjà marre de toute cette parure, ça me donne mal au cœur!

Et il fît volte-face et se dirigea vers la sortie, sous les murmures d'indignation des courtisans. Si seulement ils savaient à quel point il n'en avait rien à foutre...!

Qu'est ce qu'il lui a prit? Qu'est-ce qu'il lui a prit?

Dans une monarchie impériale, le respect de l'empereur ou de son intendant dans le cas actuel était quelque chose de primordiale. Il était possiblement passible de mort d'en faire autant devant un monarch. Il est vrai que l'empereur n'avais jamais succombé a un tel courroux, mais rien ne disait que l'intendant ne le ferait pas.

D'un ton sévère d'autorité, sans nécessairement faire parraître de la colère prenant une pose en biais,
Attendez! Avant de partir de la citadelle. Respectez vous en respectant l'autorité.- L'intendant

L'intendant devait se faire respecter pour que son autorité le soi partout dans le Grand Royaume. C'était un temps difficile pour tout le monde, mais ce l'était aussi pour l'intendant, la figure du nouveau gouvernement.
Ce qu'il demandait à Tiberius serverait à leur épargner ce que personne ne voulait.

Non mais ce n'est pas vrai! Mais pour qui il se prend ce naze?! Il n'est personne! D'accord, c'est l'intendant, bravo. Ça veut seulement dire que c'était le moins con pouvant remplacer l'empreur, et maintenant, le pouvoir lui monte a la tête. Classique. Comme si je n'avais que ça a faire, perdre mon temps en formalités futiles...

Smith roula les yeux, soupira et se tourna vers l'intendant, et lui fît une révérence exagérée. Sur un ton sarcastique qu'il prit pour défi de camoufler en respect, il dit :

Pardonnez mon ignorance éminence. Avec votre permission, je prendrais congé de cette entretien. (Bluff 6 crap XD)

En voyant Tiberius essayer de faire un effort, l'intendant prit un instant. L'intendant voyait bien que Tiberius était pressé par le temps et semblait comprendre les actions de celui-ci. Même s'il était maintenant l'intendant du Grand Royaume, il avait connu la fougue de l'aventure dans se jeunesse et il pouvait comprendre l'impatience de partir sur une quête.

Je comprends que vous n'êtes pas fort sur les formalités, mais celles-ci sont nécessaires pour un échange courtois. Peu importe devant qui on se tiens. C'est pour cela que je vous pardonne, mais réfléchissez-y la prochaine fois qu'une situation semblable se présente. Donc, je vous permets de quitter l'audience à condition que vous preniez conscience de votre manque de courtoisie.

Il ne savait pas pourquoi, mais l'intendant était certain qu'il allait recroisé tôt ou tard cet homme et que leurs prochains échanges se passeraient dans de meilleures conditions.

Ho! Mais quel honneur, je peux sortir....

Merci...sire?

Et Tiberius quitta, préférant de loin aller attendre a l'extérieur. Une fois sorti, il s'assied dans les marches, puis regarda les gens passer.

Mon mauvais caractère va finir par me tuer haha!

L'elfe n'avait que faire des différentes procédures bureaucratiques menant à la réception d'une lettre "de la plus haute importance". Entrer dans cette citadelle reviendrait à appuyer la monarchie. Selon lui, il n'existait aucune raison valable qui puisse expliquer qu'un homme se place au-dessus des autres ou même au dessus d'un animal. Tout cela revenait aux mêmes adultérations qu'emmenait une société d'hommes contrôlés par leurs envies. Le Cercle Natura Obscurare avait beau être une société (de druides), tous étaient assez clairvoyants pour éviter le piège du pouvoir. Même le maître de Rethai, Ethos, jamais ne se plaçait au-dessus des autres. Il avait l'écoute aussi raffinée qu'un caméléon attendant la venue du moustique-repas. Et il était son maitre-à-penser, pas un moule auquel il devait se conformer.

Bref, pour toutes ces raisons, Lune Dorée ne considéra même pas effectuer un pas à l'intérieur des murailles de la citadelle. Il préféra attendre les autres dehors, accoté qu'il était sur un arbre à proximité. Il ne put s'empêcher de remarquer le passage d'un homme armuré à fière allure dans les standards civilisés, habillé d'or et de différents joyaux. Il avait une stature impressionnante et une tenue sans tache. Son attitude suffisante et sa condescendance apparente lui enlevaient beaucoup de son élégance.

Il sembla avoir vaguement remarqué le druide de la nuit.
Alors, oiseau de malheur, tu penses t'envoler bientôt? Je crois que personne ici ne s'en plaindrait... hahaha.
Il semblait pressé alors il ne s'arrêta pas pour constater l'efficacité de son calembour.

Avec un sourire en coin, Lune Dorée s'empressa de suivre le garde doré dans une rue en parallèle. S'assurant de ne pas être perçu, caché qu'il était derrière une cloture d'une maisonnée, il entama une sourde mélodie qui se mêlait au chant des oiseaux.

Au moment où le garde passait à côté d'une maison d'où les battants étaient ouverts au 2e étage il reçu 2 gallons d'eau sur la tête.

Fulminant, rageant et s'empourprant le garde cria en direction du battant ouvert
Hé! Vous pourriez pas faire attention où vous jetez votre eau sale? C'est moi qui vous le dit, vous aurez affaire à moi à mon retour! Z'êtes chanceux que je sois pressé!

Puis il partit en grognant inintelligiblement.

Pendant ce temps un druide aux allures macabres revenait s'appuyer à un arbre qui était son seul véritable allié en ces lieux hostiles.