Lame de nuit, Bouclier d'automne. (Début RP, Maurice, Ogden, Maéliane)

Nous sommes aux frontières entre le pays de Cité, le Melkan et l'Arendie. Au petit village Melkan de Flamifiord, tout prêt du croisement des frontières, c'est le chaos. Durant le début de la journée, le maire de la ville, Sieur Renald Dircosa, essaye de s'eclipser de la ville en emportant les réserves monétaires de la ville. Heureusement, un des habitant de la ville le prit sur le fait et avertit le reste de la communauté.

Le reste du village, en colère, rapidement s'occupèrent du compte du maire, qui s'enfuyait pour des raisons évidentes: les monstres du territoire monstrueux risquent d'envahir d'un jour à l'autre le Melkan, le pays de Cité est en désarrois, principaux allié durant les incursions monstrueuse. Pour cette personne, pour qui passe sa peau et ses possessions avant les gens qu'il s'occupe, s'enfuir dans un pays comme le Harvek ou l'Ordika.

Point de passage populaire pour traverser la frontière, Flamifiord est présentement sous le brans le bas de combat. Qui prendra les rennes? Qui s'occupera du trésor volé, qui traîne encore et toujours au milieu du village, puisque les gens sont indécis de qui prendra les richesses et les entreposera où...

Vous quatre, vous arriverez durant la journée a cet endroit pour des raisons différentes. Et la nuit commence a tomber. Tenterez vous la nuit alors que le monde vire de plus en plus dangereux? Ou vous tenterez vous pour prendre du repos dans cette bourgade mouvementée?

Maéliane venais d'arriver dans la ville de Flaminfiord.
Il semblais y avoir de l'ambiance dans cette ville, la tension était palpable juste en entrant dans la ville au plus grand plaisir de Maéliane. Les gens étaient suspicieux et plus ou moins agréable comme tous les marins qu'elle connaissais. Vu que la nuit tombais lors de son arrivée dans cette ville et qu'elle n'avais pas envie de se promener dans la nuit puisque son père lui avais conseillé d'éviter de le faire; elle décida de chercher un endroit où dormir. Elle s'approcha d'un jeune homme assez agréable à regarder et lui demanda avec son plus beau sourire et un air taquin
Excusez moi mon cher je viens d'arriver et je recherche un endroit où dormir, avez vous un endroit à me conseiller, excepté votre lit bien évidemment
Le jeune homme la regarda et se mis à rougir.
Vous devriez aller dans l'auberge du Dragon Mademoiselle c'est un endroit très agréable d'après ce qu'on m'as dis.Continuez tout droit et au prochain croisement à gauche
Maéliane repris sa route en sautillant en direction de l'auberge.
Lorsqu'elle entra dans l'auberge, un silence pesant y régnais. Elle s'approcha de la femme derrière le comptoir
Bonjour Madame, je souhaiterai avoir un bon repas et une chambre pour cette nuit
La femme lui remis une clé et demanda à un jeune garçon d'environ de 12 ans de guider la dame dans sa chambre , ce que jeune garçon fit non sans regarder la dame en question avec des étoiles dans les yeux. Elle installa ses affaires dans sa chambre et redescendis s'installer à table.
Elle avais vu un trésor sur la grand place et pensais
ce soir dès que la nuit est tombé j'irai repérer ce que je pourrai bien aller chercher
On ne change pas un pirate même sur la terre ferme

Leblancval attend. assit sur le perron de la maison de son père, il laisse la nuit tomber. Il a la vision obscurcie par ce qu'il entend à travers la porte. il est de garde. sans plus. il veille.

passé la porte, son père, ses oncle, ses cousins, ses frères et les femmes parlent, crient, jurent. sa grand mère demande le silence. elle parle avec son père. Maurice arrête d'écouter. le ton a baissé mes les propos sont plus violents, plus mortels.

il se lève et laisse ses muscles se déliés. il visualise un adversaire plus grand face à lui et un de sa taille à sa gauche. il dégaine ses poings et traverse l'air, percute l'éther. ses chimères sont habiles. meilleures que lui. il frappe de ses deux gantelets de vieux fer clouté. martèle le visage et les côtes du plus grand puis, d'un geste éclipsé, dégaine sa hache pour fendre l'air devant le second.

ses adversaires sont redoutables. les parents crient. sont père impose le respect et le calme revient. lui seul parle.

maurice se rassoit, saisit son glaive d'armes et s'appuit contre la vielle poutre de soutient qui sépare le perron de la toiture.

l'air est frais. la route est près et elle mène en ville. elle passe surtout par l'ouest, là où les gens du village ont été le plus agressif durant la poursuite du maire. Leblancval veille.

Après trois semaines d'un éprouvant voyage dans les villages de plus en plus désertés de Cité, Ogden se reposait maintenant au bar d'un établissement du village frontalier de Flamifiord. Ses pérégrinations à la recherche de sinistrés ayant besoin d'un baume pour soigner leurs ampoules aux pieds ou d'un onguent pour leur dos endolori l'avaient conduit vers cette bourgade Melkanne; bien que n'étant pas une destination privilégiée des sinistrés de Cité à cause de la proximité des territoires monstrueux, la région risquait toutefois d'avoir besoin de combattants expérimentés, principalement pour cette raison.

Il sirotait tranquillement un whisky en écoutant les derniers ragots de la ville (croiriez-vous que le maire du village ait tenté de se faire la malle avec le trésor communal???) quand il vit entrer dans l'auberge du dragon une jeune demi-elfe vêtue dune tenue légère, avec le teint basané des gens vivant au grand air. Elle portait au lèvre un sourire à l'effet ravageur et ses grands yeux montraient qu'elle était tout à fait au courant de l'effet qu'elle faisait.

Joli brin de fille, cette petite jeunesse... Elle me rappelle cette guérisseuse lors de ma première campagne en tant que mercenaire... C'était le bon temps

Alors que la jeune femme se faisait guider vers une chambre, l'alchimiste se dit que sa démarche souple et sûre était toute caractéristique des marins du Galad ou de l'archipel Calladani. Ce détail, et son sac de voyage lui laissa penser que la femme, malgré son jeune âge, puisse être, comme lui, une aventurière.

J'espère qu'elle redescendra pour un verre dans la soirée; je serais curieux de savoir ce qui amène une navigatrice si loin de ses côtes... Peut-être me donnera-t-elle l'occasion d'utiliser mes dons d'alchimiste.

L'homme reprit une gorgée de son verre, et éclata d'un rire tonitruant à la remarque salace d'un inconnu de la salle commune, qui avait lui aussi remarqué le passage de Maéliane.

alors que s'installe la nuit, les hurlements des parents se sont apaisés. Maurice les entends murmurer maintenant. alors que les voix de ses frères résonne pour la première fois, grand-mère passe la porte. son visage est souriant. elle a toujours su apaiser Leblancval.

elle parle à son petit fils comme on parle a un enfant qui doit comprendre quelque chose qui le dépasse. elle mentionne les intérêts de la famille, la prospérité du village, le devoir d'un homme...

mais il ne l'écoute que peu. ses frères parlent. de lui. il sait quand ils le font. ils ne disent jamais Maurice, notre frère ou même le fils de notre père. ils disent lui, celui là.

ils vont aller en ville qu'ils disent. chercher leur part. ce qui appartient à la famille. ses frères ont dit qu'il [i] allait venir, tenir à distance les gêneurs.

Grand-mère lui parle des projets que son père a pour lui. elle ment. elle lui dit qu'il va devoir suivre ses frère en ville et veiller sur eux. elle ne l'a pas dit. elle vient de lui donner l'ordre de veiller sur ses frères. ils vont au-delà des ennuis. ils devra les affronter à leur place.

Ses frères sortent. ils précèdent les regards de tout le monde à l'intérieur. ils foncent vers la route le regard décidé, le pas franc, Leblancval les suit. Grand mère croise les bras en fronçant les sourcils. elle est inquiète.

ses frères sont silencieux. Maurice baisse la visière de son heaume. Flamifiord approche.

Profitant d'un moment de répit entre deux verres pour aller s'aérer l'esprit sur la place du village de Flamifiord, les pas d'Ogden le menèrent en vue du trésor communal dont le maire avait tenté de s'emparer en début de journée, toujours gardé par une impressionnante portion du corps de miliciens de la ville, faute de s'être encore entendu pour un nouvel emplacement sécuritaire ou pour un autre gardien.

Quel gâchis... J'ai déjà vu des guerres commencer pour moins d'or que ça!!! Se disait le vieil homme en son for intérieur en admirant le trésor. Si ce n'était de l'insécurité des dernières semaines, probablement que des groupes se seraient déjà organisés pour venir s'entretuer aux pieds de ce tas de pièces.

Alors que l'alchimiste en était à ces sombres réflexions, des clameurs provenant des différentes artères les plus passantes de la ville commencèrent à s'élever, pendant que les familles paysannes rattachées aux territoires les plus éloignés de la bourgade arrivaient également pour donner leur point de vue sur la propriété du magot répandu sur les dalles de la place du village.

Ogden s'assura rapidement qu'il portait son matériel d'alchimie et ses armes sur lui au cas ou les choses, comme il s'y attendait, ne tournent au vinaigre. Ce faisant, il ne pu s'empêcher d'avoir une pensée pour le dernier combat qu'il eu vécu, dont l'issu avait failli lui être fatale. L'ancien combattant s'empressa de chasser ces souvenirs douloureux pour se concentrer sur les évènements présents, qui, s'il fallait en juger par le bruit ambiant toujours croissant, semblaient s'approcher d'un dénouement.

Maéliane descendais de sa chambre tranquillement, la nuit commençais à tomber et elle ne pouvais se retenir plus longtemps d'aller voir le trésor de la ville qui était bien trop tentant.
Maéliane parcouru tranquillement le chemin en direction du trésor, elle avais pris ses affaires au cas où il y ai du grabuge sur place.
Elle arriva devant la place et commença à repérer les alentours, elle repéra un vieil homme qui semblais être un aventurier et se rapprocha discrètement de lui car cet homme lui inspirai confiance.
Puis Maéliane se contenta de repérer les alentours. Humm ce trésor sera difficile à approcher avec cette milice à moins que du mouvement les déconcentre.

Alors que les villageois commençaient à se rassembler sur la place publique, eux aussi attirés par le brouhaha s'élevant près du trésor municipal. Installé les bras croisés près de la milice du village, Ogden se permis d'observer les alentours; il remarqua près de lui la jeune aventurière qui avait fait sensation plus tôt dans la soirée, à l'auberge.

Alors qu'elle semblait regarder d'un oeil avide l'amas de richesse au centre de la place, Ogden pris le loisir de rectifier son appréciation initiale des origines marines de la jeune femme.

Définitivement originaire de l'archipel Calladani.

Hé bien jeune demoiselle, bonsoir!!! Alors vous avez trouvé votre chambre??? Si votre fenêtre a vue sur la place, je comprend que vous ayez décidé de venir admirer la scène de plus près!!! Je suis Ogden Firewhiskey, alchimiste itinérant; Pourrais-je vous demander ce que vous faites si loin des côtes???

En attendant une éventuelle réponse de l'inconnue, Ogden fixa son dévolu sur la foule de plus en plus excitée et les miliciens, qui montraient maintenant des signes grandissant de malaise.

à la fin de la route se présente le village. ses frères sont discrets et ne parlent que peu. ils sont en sueur et le plus jeune des deux commence à parler. il doute. l'aîné est convaincu. ils parlent d'aller voir les Delagarde et les Vercheval, que les hommes ont été de ceux qui ont traîner le trésor sans son maître.

les frères vont chez les Vercheval en premier. le père est un maçon qui a son affaire depuis des lustres. ses fils son quatre et vaillant, du genre a chercher la merde. maurice les a battus, mais s'est surtout fait battre par le valeureux quatuor. à la maison Vercheval, ses frères entrent, maurice non. il veille sur les entrées, sur les sorties.

ils ne restent pas longtemps. ils ressortent prestement, accompagnés des fils vercheval sauf un. Leclanval les suit a bonne distance. ils parlent à mi voix et sont nerveux. ils cherchent. maurice a peur qu'ils ne se fassent trouver.

vers la maison Delagarde, ils croisent une foule qui se masse sur la place. la milice rôde et tient son poste devant le trésor laissé là. ils rôdent, veille sur un butin, pas sur un trésor qui appartient au peuple. Leblancval est en mauvais termes avec la milice et son chef, un microscopique tyran qui se sert de son poste pour faire des saisies et des péages pour son propre compte.

un trio de miliciens les abordent. les questionnent sur ce qu'il viennent foutre là. les frères parlent de se rendre chez des amis. les trois familles sont reconnues en ville et ont une certaine notoriété. les gardes sont embêtés de voir les fils de têtes fortes circuler ensemble. ils leur disent d'aller voir leurs mères. les frères répliquent qu'ils iront voir les leur, vérifier si elles ont leur saignements cette semaine. les gardes les menaces. les frères répondent. les badauds sentent le roussit. Leblancval contourne le groupe des frères et se retrouve sur le flanc des miliciens. glaives d'armes en main. à l'affut.

les miliciens bousculent les frères, les frères répondent, d'autres miliciens arrivent. Leblancval en compte huit. plus dans un instant: l'aîné des vercheval a lancé le premier coup.

Maurice s'éveille.

Alors que l'ancien guerrier fixait son attention sur ses présentations (et, s'il faut l'avouer, à sa grande curiosité pour cette aventurière loin de chez elle), l'escalade du bruit de mit à se précipiter, et il semblait fort que les deux étrangers allaient se trouver à l'épicentre du tumulte...

La rixe éclata lorsqu'un provincial en mal de sensations fortes, mais ayant visiblement plein d'énergie à dépenser et trop peu d'intelligence pour le faire ailleurs qu'au beau milieu d'une foule décida à priori de régler un vieux différent avec un représentant de la milice local.

Les nouveaux arrivants étaient armés et, pour ce qu'Ogden pouvait en voir dans l'abondance de villageois rassemblés sur la place, à peu près aussi nombreux que les miliciens gardant le butin de Flamifiord. Au moment ou le plus grand d'entre eux faisait mordre la poussière à un milicien, deux autres de carrure et d'apparence similaire s'efforcèrent de contenir la réaction des miliciens les plus proche de leur confrère tombé. Plusieurs des passants s'éloignèrent de l'échaufourrée, mais la majorité restèrent, les uns toujours sous le coup de l'excitation guerrière de la poursuite du maire déchu, les autres soit curieux soit avides de voir ce qu'il allait advenir du trésor de la ville une fois l'escarmouche terminée.

Bon... La situation ne se présente pas particulièrement bien... Il y a là une quinzaine d'énervés qui sont sur le point de s'entretuer, et à leur portée plus d'une centaine de personnes gonflées à bloc, qui seraient prêtes à se joindre à la curée pour un oui ou un non... Je n'ai ni amis, ni compagnons d'arme, ni même une connaissance pour me prêter main-forte, n'ayant pas plus d'informations sur cette jeune aventurière à mes cotés.

Maintenant j'ai comme option: me sauver vite fait... Ma dernière bataille n'aura pas été particulièrement couronnée de succès après tout. Ceci dit, si je file, il y a de forte chance que la situation ne tourne au massacre d'ici à ce que la soif de sang des habitant de cette charmante bourgade ne se calme. Je ne peux appuyer ni les villageois ni les miliciens sans savoir si les premiers n'en n'ont qu'après le butin et si les seconds ne sont pas véreux jusqu'à l'os. Ah!!! Voilà une idée intéressante!!!

Ogden décrocha une petite éprouvette de sur son gantelet droit et, d'un geste sûr et rapide, y mélangea une pincée d'une poudre scintillante provenant d'une pochette sur son épaule, quelques gouttes d'un épais liquide rougeâtre semblant provenir de son index et remplit le reste du flacon à partir d'une flasque pendant à sa ceinture. Alors qu'il prépare sa recette, le flacon semble émettre une faible lueur, similaire à celle d'une braise parmi les cendres éteintes d'un feu de la veille.

L'alchimiste lança par la suite discrètement son minuscule projectile dans les airs vers les belligérants, suffisamment haut pour leur éviter les principaux... hum... risques. La petite bouteille de verre se transforma en une impressionnante boule de feu alors que retenti dans le village le bruit de l'explosion

J'espère que la diversion les surprendra assez pour calmer leurs envies de se battre... Ou au moins suffisamment pour effrayer les passants suffisamment pour qu'ils rentrent chez eux.

Maéliane n'eu pas le temps de répondre à l'homme qui venais de s'adresser à elle. En effet d'un seul coup une rixe éclata sur la place.
D'un côté cette situation l'arrangeais car elle pourrai peut être en profiter pour aller voir le trésor de plus prêt et de l'autre même si elle était équipée pour combattre cela ne la tentais pas trop car pour le moment elle préférai rester en retrait. hum je devrai probablement retourner dans ma chambre si je ne souhaite pas participer à cette rixe
Elle vis l'homme qui venais de lui parler manipuler discrètement une petite fiole et d'un seul coup une impressionnante boule de feu apparu . Tiens tiens en voilà un qui n'a pas froid au yeux je devrai m'en faire un allié. Ma première impression devais être la bonne.

Joli coup mon cher peut être que cela va calmer un peu la situation, je me nomme Maéliane River, et vous ne vous êtes pas trompé je viens bien des côtes, je dois me rendre à la cité d'or . Et vous où vous rendez-vous ??


Sur ce elle regarda à nouveau le trésor décidément résister à l'attrait de cette place était très difficile mais ce n'était pas le temps de se faire remarquer déjà que cet homme avais tout de suite déduit qu'elle venais des côtes ...

alors que les frères s'élance dague à la main, les apprêtent leurs piques. maurice est déjà prêt. les miliciens vont répondre à un coup de poing par un coup de lance. Leblancval le sait. ils sont comme ça. alors maurice sert le manche de son glaive d'arme et fond sur le plus proche milicien. alors que les lames sont tirées, une déflagration se produit au dessus de leur tête.
les miliciens figent. les frères arrêtent. maurice n'hésite pas. dans un instant la confusion aura cessée. les miliciens vont croire que les frères sont responsables. les frères vont fuir. maurice va leur donner une chance.

de toute sa force, de toutes ses heures à mordre la poussière, il lance un coup au milicien ( attaque avec allonge portée avec un Glaive d'armes contre un humain homme d'armes niv 1 portant une armure d'écailles (CA: 15, att: pique +3, 1d8+3) qui l'atteint au trapèze, lui fracasse la clavicule et s'enfonce dans le haut du senestre de son torse (att: 15+(5)=20 dom: 1D1O+6 ( 8 ) ). la frappe projète violemment le milicien au sol. il ne se relèvera pas.

les badauds fuient. les 6 frères se battent maintenant pour leur vie contre une dizaine de miliciens.¸

EDIT DU MD: Attention! Pas de stats dans les post! ca pête le roleplay! T'es capable de représenter ca en narration sans faire des jets de dés.

oui, pas de problème. mais comme j'avais vus toup le faire, je pensais que c'était la façon de l'écrire.

Suite à la réponse de Maéliane, Ogden fut soulagé d'au moins pouvoir compter sur une personne pas trop menaçante à son endroit dans cette foule électrisée et prête à exploser.

Enchanté jolie Maéliane!!! À vrai dire je suis un alchimiste itinérant, je me suis mis en route pour aider les sinistrés de la cité d'Or à la fois pour donner un coup de main en ces temps troublés et pour éprouver mes capacités d'alchimiste.

Alors qu'il prenait la peine de répondre à cette nouvelle connaissance, l'échauffourée sembla s'envenimer visiblement. À priori sa diversion n'avait pas vraiment eu l'effet escompté; les miliciens, surpris par la déflagration, marquèrent un temps d'arrêt dont les villageois, notamment un petit taupin casqué montrant plus d'habileté que ses congénères, profitèrent pour foncer avec encore plus d'ardeur au combat.

S'adressant à Maéliane, l'alchimiste dit: "Bon je pense que mon petit tour de passe-passe ne sera pas suffisant pour arrêter cette rixe. À mon avis il faudra maîtriser ce guerrier là-bas; celui qui n'a pas du tout été ralenti par mon petit cocktail... Je vais partir à ses devants, et j'aurai besoin de quelqu'un pour assurer mes arrières."

La jeune pirate sembla l'observer de pied en cap pour jauger de ses chances de vaincre l'homme d'une trentaine d'années son cadet au corps à corps. Le vieil homme la regarda d'un air malicieux avant de concentrer son attention sur le combat. Il pris une des fioles à sa ceinture, la déboucha sans même la regarder et en avala le contenu; un bref scintillement parcouru son corps alors que la potion prenait effet, devant dévier de son corps l'impact des coups les plus meurtriers. Il se saisit par la suite d'un flacon à peine assez gros pour contenir une gorgée d'un épais liquide argenté, qu'il but aussitôt.

Cette mixture eu pour sa part un effet autrement plus remarquable, alors que devant les yeux étonnés de la jeune aventurière, l'ancien guerrier sembla retrouver la vigueur d'une seconde jeunesse, observable par ses épaules et son tronc plus découpé, ses membres élancés et musculeux, ses mains élargies aux extrémités maintenant griffues et, dans un même temps, la pilosité du même poivre et sel que ses cheveux et sa barbe se répandant à vue d'oeil sur le reste de son corps, reproduisant le motif à rayures noires sur fourrure blanche généralement associée aux tigres du Gessan.

ASSEZ!!!! Cria l'homme aux traits de bête; injonction qu'il enjoignit d'un rugissement de fauve.

Sur ces paroles l'alchimiste bondit sur le dos d'un des frères sans nom qui n'avait pas cru bon de porter attention à son avertissement, le portant au sol de son impulsion. L'homme se cogna la tête sur le pavé de la place, ce qui lui fit perdre connaissance. Ogden perdit immédiatement son intérêt pour l'obstacle tombé et tourna son attention sur le milicien que le villageois combattait. Après un moment de stupeur de voir son adversaire initial remplacé par une bête fauve, le milicien se ressaisit rapidement et - soit par un accès de courage ou de peur - attaqua de sa lance l'épais cou de l'homme tigré. Celui-ci, venant tout juste de fixer son attention sur cette nouvelle cible, n'eut que le temps d'éviter de quelques pouces un estoc autrement fatal. La pointe de l'arme vint entamer la chair de Firewhiskey, ayant pourtant la même consistance que le cuir de son armure, meurtrissant le combattant à la base du cou, loin des vaisseaux sanguins importants.

L'alchimiste profita d'être à l'intérieur de l'espace contrôlé par la lance de son opposant pour se saisir de la hampe de l'arme ennemie et la tirer vers lui en rugissant violemment. Le milicien préféra sa vie à sa solde et lâcha son arme pour prendre ses jambes à son cou.

La voie vers le petit mais talentueux guerrier du village était maintenant dégagée et Ogden, traversant la place du village tel un éclair de fourrure blanche, arriva dague en main à portée de Maurice alors qu'il venait d'occire son adversaire. Le guerrier lança un coup de sonde vers le bras d'arme d'Ogden, que celui-ci esquiva facilement. L'ouverture permis à l'alchimiste de lancer une frappe rapide et précise vers l'articulation de l'armure, au niveau de l'épaule de Maurice, mais la lame atteint plutôt l'armure suite à un habile mouvement de corps du combattant, qui en avait visiblement vu d'autres.

Pourquoi avoir attaqué les miliciens alors qu'ils ne faisaient que veiller sur le trésor??? Demanda d'une voix profonde le vieil homme au jeune alors que s'entrechoquaient pour une première fois leur lame.

Lorsque la rixe s'envenima le vieil homme en face d'elle pris une potion et se transforma. jolie carrure
Après lui avoir demandé de garder ses arrières il parti combattre pour calmer un combattant d'une laideur absolue qui semblais être le meilleur des combattants parmi les villageois.
Bon il a l'air de maîtriser la situation là

Maeliane se rapprocha tranquillement de trésor et personne ne sembla la remarquer
Elle murmura : Bon puisqu'ils sont tous occupés voyons ce qu'il y a ici

Oui cette ville avais un joli trésor mais elle en avais vu des tellement plus intéressant , elle décida de calmer un peu la ville puisque la rixe continuais . Elle monta en haut de la pile du trésor, son pied glissa mais elle réussi a se reprendre. Et une fois installée en haut elle se mis à rigoler de plus en plus fort de sorte à ce que tous se retourne vers elle. Je peux vous dire que ce trésor est tellement bien gardé que depuis quelque seconde j'en suis la propriétaire, je veux bien vous le rendre si vous vous calmez un peu et que vous prenez une décision à son sujet vous ne pouvez le laisser au centre de la place voyons Attendant la réaction de tous elle se mis à jouer avec une des pièces qu'elle lanca très haut dans les airs et qu'elle frappa ensuite d'un rayon de feu trop puissant pour une simple pièce. voilà ils sont avertis voyons qui osera se rapprocher .

Alors qu'Ogden croisait le fer avec les villageois lui barrant le chemin vers Leblancval, Maéliane fit mine de s'approprier le trésor du village, délaissé par les miliciens.

Intéressant, cette petite semble avoir tout un caractère!!! Et son coup d'éclat pourrait même réussir là où le mien a échoué.

Pour ce qui est de ne pas se mettre en danger c'est loupé par contre!!!

Sur ce il fixa son attention sur la situation dans laquelle il était.

les miliciens ont vu une voleuse sur le trésor, elle attire leur attention. dans un instant ils auront foncé sur elle. les frères en profiteront pour se battre à égalité numérique.

alors que maurice fait un pas pour atteindre de son glaive d'armes un milicien aux prises avec son frère cadet déjà blessé au bras par un coup d'estoc, son frère aîné est progeté au sol par... par...

l'homme bête, l'abomination arrache des mains l'arme d'un milicien et vient aux prises avec lui. l'homme est puissant. il frappe bien. la chemise de maille de maurice tient bon face à la dague de l'homme. il parle. maurice n'a pas de temps à perdre avec lui.

deux miliciens s'en prennent à son cadet, un autre brandi un arc long et décoche une flèche vers la voleuse sur le tas de richesses au centre de la place, un de plus fonce vers elle pique à la main et, montant dans les pièces et les coffres, lance une frappe vers elle. les frères vercheval ont chacun un adversaire. deux miliciens sont déjà tombés. le dernier fonce vers leblancval.

rusé, il dégaine une courte lame en franchissant les mètres qui les séparent, saisit la lame du glaive d'armes pour la dévier et lève sa lame pour pourfendre Leblancval. Maurice a vu cette scène tant de fois dans ses entraînements. de son bras gauche fléchi, il relève le bras d'arme de l'homme bête qui verrouille son arme d'hast, lâche son glaive d'armes et écrase de son poing dextre bardé de fer, hérissé de pointes contre le visage du miliciens. le sang jaillit des os fracassés, des profondes plaies, de l'impact sonore. sous la force du coup, les pieds du milicien quittent le sol. il retombe lourdement sur son flanc. il vit, mais peu. il ne se relèvera pas tout de suite. il hurle de douleur. respire difficilement.

l'homme bête devant lui reprend sa garde rapidement. maurice hurle:
"cet or est celui des habitants de Flamifiord!"

la bête est féroce et attaque autant ses frères que leurs adversaires. maurice le foudroie à travers sa visière.

il poursuit son élan suite au coup porté au milicien. alors qu'il arrive pour asséner une frappe à la bête, une pique s'enfonce dans le flanc gauche de son abdomen, perforant par chance les muscles et non les tripes. la douleur est aveuglante. l'un des miliciens aux prises avec son cadet l'a prit au flanc. il tourne la pointe. maurice sert les dents. le milicien retire sa pique pour frapper à nouveau. son erreur. le sang jaillit de la plaie. maurice fait un pas avec le mouvement de recul de son ennemi. dans son pas, en un éclair, il saisit sa hache de sa main gauche. il est à un souffle de distance avec le milicien hébété.

de son poings droit, il fracasse la mâchoire de l'homme et dans le même geste il assène une frappe descendante au genou droit qu'il entend se broyer sous l'impact de la hache d'armes. l'homme tombe. lourdement, dans une marre de sang. il n'émet qu'un long râle sourd. maurice voit trouble. il tient bon malgré le mal.

Maéliane esquive la frappe du milicien qui est en train de monter sur la pile

Ah bon d'accord c'est comme ça qu'on va faire alors

D'un seul coup elle remarque un mouvement derrière elle, d'autres personnes montent la pile d'or. Elle se retourne et esquive un sourire. Ahh le chat sort du sac. Elle savais bien que son père avais du envoyer des hommes pour la suivre et s'assurer que tout allais bien pour elle mais quand elle vis qui l'avais suivi elle eu envie de rire. Trois hommes montaient la colline derrière elle et s'installèrent à côté d'elle. Si elle portais les stigmates de la vie marine , eux en portaient bien plus. Il y avais "la Montagne" un marin d'une trentaine d'année , un vrai colosse en tant que tel. Il y avais "le fouineur" celui là je me douterai qu'il suivrai tiens un homme qui semblais âgé mais qui était réputé pour son adresse à l'épée et en dernier son préféré d'entre tous "Julius" un homme superbe qui faisait défaillir toutes les femmes à son passage et qui avais une femme ou plus dans chaque port.
Le fouineur s'adressa à elle : Alors la petite , tu vois un trésor et tu te l'approprie, tu es bien la digne fille de ton père

Dès que les miliciens virent les trois hommes à côté de Maeliane, la panique s'empara. Les villageois poussèrent de grand cri en hurlant des pirates, des pirates !
Parmis les villageois qui combattaient tous reculèrent également sauf un qui semblais être le plus robuste mais aussi le moins raisonnable.

Bon occupons nous de celui ci
Maéliane lança un missile magique en direction de l'individu Et voilà il va peut être se calmer maintenant
Les trois pirates se tenaient près à repousser les hommes mais les miliciens ne savaient plus quoi faire.

Messieurs, messieurs comme je viens de vous le dire le trésor es au village et je ne compte pas le garder mais pourriez vous lui trouver un endroit plus approprié que la place.
Les miliciens semblant comprendre que la jeune femme n'en voulais pas au trésor se retournèrent en direction des villageois qui avaient commencé à combattre.

la situation est devenu intenable. maurice hurle le nom de son cadet alors que les miliciens poursuivent les vercheval vers le nord. il est au sol. il saigne. trop. son bras gauche et son front sont entaillés, il a lâché sa dague. son aîné se relève péniblement, ramasse l'arme d'hast de maurice et hurle à ses frères de prendre la fuite. Maurice prend son frère sur son dos en un éclair et file, son aîné sur les talons.

alors qu'ils tournent le coin d'un rue au carrefour d'une maison, le milicien armé d'un arc long décoche une flèche. il vise le cadet sur le dos de maurice. il rate. maurice prend le projectile dans l'épaule. la pointe traverse les muscles et la peau, même la maille et le tissu. de part en part. depuis l'arrière de l'épaule, jusqu'au haut de son pectoral, sous la clavicule gauche. il sert les dents, titube, vois trouble, mais avance encore. la douleur est moins lourde que son frère. le sang qu'il perd, il le perd pour sa famille. si maurice tombe, il tombe pour deux. alors il avance.

l'aîné prend les devant. ils foncent vers la maison du père Leblancval.

derrière eux la ville. derrière eux le sang qui les poursuit. derrière eux la paix des jours enfuis.

la route les reconduit chez le père Leblancval. sur son dos, maurice sent son frère qui tient bon. il est brave. il connait un ou deux sorts a ce que maurice a cru comprendre, ces affectations au temple l'ayant encouragés à se lancé dans les prières et les demandes aux dieux. l'aîné devant ne s'arrête pas. ne ralenti pas. il fonce vers la maison. son cou est écarlate de son sang qui coule depuis ses cheveux, depuis la plaie à l'arrière de son crâne.

maurice sent chaque pas. le sang coule de son abdomen. le sang de son frère coule sur son dos. son propre sang coule sur son torse. il n'a rien dit pour la flèche. il court malgré elle. l'aîné ne l'a pas vu. le cadet s'accroche pour rester sur le dos de Maurice. il doit être dans un noir complet où seule règne la douleur...

maurice a passé sa vie dans cet empire qu'est le mal. en ce moment, chaque pas est une province d'agonie. mais il court.

ils arrivent devant la maison du père. l'aîné fonce à l'intérieur. maurice pose son frère sur ses jambes. alors qu'il retourne sur ses pieds, leurs yeux se croisent. le cadet remarque la flèche. remarque qu'il est de retour chez lui. il veut remercié son frère. alors il verse une larme de chaque oeil. de douleur? de gratitude? maurice ne voit plus. il reste figé.

mais ses jambes le lâchent. il s'écroule, respire soudain très mal, sa tête gronde comme l'orage. il retire son heaume. le cadet le retourne, lui dit d'inspirer. à trois. maurice compte pour son cadet.

"trois..."

le jeune homme retire la flèche. maurice lâche un cris entre ses dents. puis respire un peu mieux. une douce lumière envahit l'empire de ses maux. son frère en appel aux dieux pour que le sang cesse de couler. il le demande pour Maurice. il le demande pour lui même. le Sang arrête. le père surgit dans le cadre de la porte. seul. l'aîné est à l'intérieur et parle avec ses oncles. il raconte comment tout est parti en vrille.

le père à le regard confus. muet, il avance vers ses fils. les prend tous les deux dans ses bras.

"tout va bien les garçons. vous êtes rentrés maintenant."
"père, ils sont là..."

maurice a gardé un oeil sur la route. deux cavaliers. le chef de la milice et Oedgarh, un demi orque qui exécute sa sale besogne. ils sont immobiles à trois cents mètres de la maison, postés sur une colline. ils parlent.

maurice se lève. le cadet file à l'intérieur. le père a sa jambe raide et son vieil espadon. une belle amie. le père regarde son fils se relever prêt à se battre. il est finalement fier. les cavaliers avancent vers la maison.

le chef de la milice est un vieil ennemi du père Leblancval. Il a toujours été milicien. le paternel de maurice était soldat. ces deux vocations martiales chez les melkans sont toutes deux vitales, mais rivales. il est grisonnant, mesure près de deux mètres, il a toujours à son flanc son puissant fléau et combat avec un écu de l'âge de maurice. il a les yeux d'un brun chêne qui percent la bravoure éphémère comme la foudre fend sans mal l'orme le plus solide. il est bâti comme un quarantenaire qui passe sa vie entre deux entraînements, entre deux rixe, entre deux viols.

Oedgarh est un brin plus petit, son teint est celui de l'herbe qui sèche au soleil. sur son destrier, on peut voir la lame gigantesque de son lybris qui est rangé dans un étui attaché à sa scelle. il mâche un brin de paille et porte une capuche brune. il a des main immenses, une mâchoire difforme dans sa largeur, et de lourdes tresses tombent par dizaine autour de son visage couvert de balafres. les deux hommes portent des plastron solides, robustes. ils sont sur des montures fortes et s'approchent de la maison paternelle.

maurice entend son frère aîné sortir de la maison, glaive d'armes en main. il ne sait pas s'en servir. maurice le sait brave, mais impulsif. son père dit à l'ainé de retourner à l'intérieur et de protéger la famille. l'aîné rouspète. il tient tête au paternel. ce dernier n'est pas d'humeur. il gifle son fils aîné. lui ordonne d'une voix sèche de rentrer à l'intérieur. il obéit.

le paternel se retourne vers maurice. il se parle comme des guerriers le feraient.
"fils, tu peux te battre?"
"oui."
"alors fait ce que te permet ton état."

les deux miliciens arrivent à un vingtaine de mètres. Oedgarh met pied à terre. le chef de la milice s'appuie sur le pommeau de sa scelle. il sourit.
"Leblancval... tes fils sont des abrutis. tu les as envoyé parler et ils ont fini au hachoir. se sont des minables qui ont défiés la milice et toi, tu n'es qu'un vieux crétin qui a voulu volé les impôts du royaume."

"mes fils sont allés récupérer ce qui appartient aux familles de flamifirod."

"tes fils vont mourir pour leur crimes."

Oedgarh dégaine son lybris, le père Leblancval dresse son espadon en garde courte, maurice brandit son écu et sa hache d'armes. il est sur le flanc gauche de son père, un peu en retrait. le chef de la milice ne réagit pas. la hache et l'épeé se heurtent, maurice contourne le demi orque sur sa droite.

Maurice a peur. son père est froid comme l'acier. oedgarh s'enflamme.

EDIT DU MD: Euh, jouer tout seul n'est pas le but du jeu. Attention